J’étais ce matin au Palais de la Porte Dorée avec Élisabeth Moreno dans le cadre du renouvellement de la convention entre le Palais et la Dilcrah pour lutter contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT+ en favorisant la création.

Notre vie culturelle, minée par des mois de crise sanitaire, a un rôle essentiel dans la transmission des connaissances historiques, notre devoir de mémoire et notre récit commun. Le Palais de la Porte Dorée, chef d’œuvre Art déco de #paris12, symbolise cet espace pédagogique et singulier célébrant la diversité et l’engagement artistique. Abritant un aquarium tropical et le musée national de l’histoire de l’immigration, ce lieu de vie nous offre un temps, un point de repère où nos valeurs sont en partage.

Sous l’impulsion de son nouveau directeur Pap Ndiaye, une partie du Palais rouvrira le 19 mai avec l’exposition « Ce qui s’oublie et ce qui reste » ou 18 artistes du continent africains relèvent l’importance de la transmission pour la construction de l’identité.L’autre partie du Musée fait peau neuve en bénéficiant d’une enveloppe de 7 millions d’euros du Plan de Relance.

Ce palais est aussi le vôtre ! C’est en investissant ces lieux de culture que nous traduirons en acte notre volonté de faire de la France une création continue.